Lulu au Chili

De retour!

Voilà, me voilà rentrée à Strasbourg! Donc pour les photos que je n'ai pas encore mises en ligne, ça sera en direct!

Ahora estoy de vuelta en Francia! A los de quienes no me pude despedir, que les vaya bien a todos, y gracias por haberme aguantado! Jijiii... A los de Amapolas digo... Amapolas como lo vivimos se acabo con nosotros creo ;) Amapolas hasta siempre !!

Le voilà!

Milieu d'après-midi, le soleil tappe...
... et là, je le vois, derrière les palmiers: le Père Noël!

Un énorme Père Noël gonflable devant la gare, qui doit mourir de chaud sous son manteau. Au supermarché, sont également arrivés les sacs plastiques Joyeux Noël, et il semblerait qu'un sapin ait atterri sur la Plaza de Armas (à voir).

Donc voilà, décembre arrive! Et avec lui, le beau temps, enfin!!

Durée de mon jour anniversaire...

Donc le Manquehue c'était mi-août, ça fait longtemps. Mi-septembre, la fête nationale et la floraison des drapeaux chiliens (post en préparation). Et fin octobre, le 27 pour être précise, mon anniversaire!

Une nouvelle fois, mon jour d'anniversaire a subi une modification de sa durée: cette année ce fut une dilatation, afin d'unir le 27 octobre Français et le 27 octobre Chilien. Le décalage horaire étant ce jour-là de 5h (aujourd'hui réduit à 4), le 27 octobre dans le référenciel Lucilien a donc duré 29 heures.

Les précédentes modifications de sa durée sont majoritairement des dilatations aussi (changement d'heure lorsque mon anniversaire est un dimanche: à 3h il est de nouveau 2h, donc le 27 octobre dure 25 heures) mais il a une fois subi une contraction: Je me réveille à Chicago, mais à 18h je monte dans l'avion et mets ma montre à l'heure française, et il est déjà 1h du matin... Mon jour d'anniversaire dure donc 18h...

Voilà pour aujourd'hui, demain je vais à Valparaiso alors j'aurais peut-être des photos à mettre!

Ascension du Manquehue

Mi-août, Amapolas (la maison où j'habite) se motive, on décide de monter sur le Manquehue, ptite montagne qui surplombe la ville.

Nous nous lançons donc à la poursuite d'un sommet sur un chemin inexistant (forcément on s'est perdu, mais pour les sommets, y'a qu'à monter alors on y est arrivé) parfois rampant sous les branches...

La vue depuis le sommet consiste en un épais brouillard transmettant le bruit de la ville mais pas sa lumière.

Une fois n'est pas coutume, une photo avec des gens! Nous voilà en train de faire un câlin au cactus.

Sympathique cette ptite rando, un jour de soleil on reviendra!

Les animaux du Nord, suite et fin

Le désert, mine de rien, n'est pas complètement mort. Aux lagunes, on peut voir toutes sortes d'oiseaux.

Ci-dessous, certains spécimen dont les noms m'ont échappé...

Les fameux flamants roses du salar d'Atacama (qui ont donné leur nom à la réserve nationale du coin).

Et pour finir, le fameux lapin vert, dont le nom véritable est vizcacha (prononcer visse-catcha) et qui se cache au milieu des cailloux, et qui est assez difficile à repérer.

Sur ce, retour à Santiago (début août), les vacances sont finies et je retourne à la fac!

Allez, le printemps arrive!

Les animaux du Nord: les cousins des chameaux et dromadaires

Chili, Amérique du Sud, Lama!! Eh oui, j'ai vu des lamas. Ci-dessous un troupeau au bord de la route, avec dans le fond le volcan Lascar et son petit nuage de fumée.

Ci-dessous, d'autres lamas, avec des rubans de couleurs dans la laine. Avant, les rubans servaient à remettre de la joie dans la nature qui manquait de couleurs vives.